L’endurance est un élément phare du triathlon! On ne peut pas passer à côtéClignement d'œil

Qu’on veuille terminer son premier triathlon ou se qualifier pour les championnats du monde, être endurant est un facteur primordial. Et sur les triathlons longues distances, ceci sera d’autant plus vrai.

Avant d’aller plus loin, je vous suggère d’aller voir cette vidéo et cet article sur le thème de l’endurance afin de comprendre davantage ce qui va suivre :

--> Qu’est-ce que l’endurance en triathlon?

--> L’endurance fondamentale pour progresser en triathlon

Maintenant que vous avez compris les bases (plutôt théoriques), je vais vous expliquer, dans les 3 disciplines,…

Comment travailler son endurance en triathlon?

comment travailler son endurance en triathlon

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Salut les triathlètesSourire

Les cuisses font mal et il y a quelques tensions musculaires après le 2ème weekend de mars? C’est le signe que le Jogging des Sommets de Franchimont a été intense!

Dimanche, j’ai effectivement participé à ce jogging de Theux au profit de leur école libre. J’ai déjà participé quelques fois à cette course dont l’an dernier où j’avais terminé 5ème, et malgré sa difficulté due au dénivelé, c’est une très belle course! Alors c’est parti :

Jogging des Sommets de Franchimont : la saison est lancée

Jogging des Sommets de Franchimont la saison est lancée

Credit photo : David Edgar

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Salut les triathlètesSourire

La VMA est un terme qu’on utilise régulièrement dans le jargon de la course à pied et donc dans le triathlon également. Quoi de plus normal puisqu’il s’agit d’une notion très importante à comprendre si on désire progresser en course à pied. La fameux entrainement en fractionné ça vous parleClignement d'œil? Car il y a un lien!

En effet, faire un test de VMA pour déterminer sa VMA et ainsi programmer des entrainements sur base de cette VMA permet d’obtenir d’excellents progrès et de gagner plusieurs secondes voire plusieurs minutes sur un 10km par exemple. La VMA étant utile pour s’améliorer sur toutes les distances de course d’un triathlon, il est important que vous en sachiez davantage…

La VMA en course à pied, qu’est-ce que c’est?

Credit photo : Kristen Wong

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Salut les triathlètesSourire

Je ne sais pas si vous étiez au courant mais il s’avère que IRONMAN possède sa propre “académie” ou université et que des Coaches Certifiés IRONMAN sont donc formés partout dans le monde depuis quelques années. J’ai donc décidé de suivre leur formation afin d’étendre mes connaissances et de devenir un “IRONMAN Certified Coach”.

Avant de vous expliquer pourquoi, je fais un rapide retour en arrière sur comment je suis devenu coach de triathlonSourire

Je vous rappelle que je débute le triathlon en 2014 après mon retour de Finlande où je réalisais mon mémoire de fin d’études en Kinésithérapie. A ce moment-là, je veux retrouver la forme, me lancer des défis, progresser en triathlon et je finis par lancer ce blog en 2015 durant la préparation de mon premier IRONMAN pour partager mes expériences et tout ce que j’apprends en triathlon pour vous aider aussi à progresser. Loin de moi donc, l’idée de devenir un coach…

Ensuite les mois passent, j’apprends beaucoup de choses, je m’améliore, je partage davantage et je commence à recevoir des questions d’autres triathlètes qui sont autour de moi et surtout via le blog pour avoir des conseils sur leur pratique.

Puis en 2016, plusieurs athlètes commencent à me demander des conseils sur leur planification d’entrainement et leur plan. Je continue à apprendre davantage sur ce sujet qui me passionne puis rapidement, je reçois des demandes pour que je fasse leur plan d’entrainement afin de préparer leur objectif en triathlon et en course à pied. Du triathlon M jusqu’aux distances IRONMAN et du 10km au marathon.

Je suis intéressé mais ennuyé par le fait que je n’ai pas d’expérience en coaching si ce n’est des plans d’entrainement de remise en forme pour des amis ou des patients en tant que kinéRire Ces athlètes connaissent ma situation mais veulent vraiment me faire confiance!

Je propose dès lors à ces personnes de les coacher gratuitement! Je fais leurs plans d’entrainement, ils me donnent leurs feedbacks hebdomadaires ou mensuels et puis j’adapte pour la suite du plan.

Au final, je vis une première saison de coaching extraordinaireSourire J’apprends énormément, mes athlètes remplissent leurs objectifs (et font même mieux) alors je décide de me lancer dans cette aventure de coach de triathlon qui me fait vibrer.

Comme je suis convaincu que cette première saison positive ne suffit pas pour dire d’être coach, je rentre dans le cycle de formation de la Ligue Belge Francophone de Triathlon et Duathlon! Il s’agit d’un cursus sur plusieurs années en différents niveaux, avec des examens théoriques et pratiques. Je commence par la base et je suis actuellement toujours dans ce cursus en lien avec l’adeps.

Le seul problème que je rencontre, c’est que cela demande des présences lors de certains weekends et avec ma vie professionnelle, je n’arrive pas à être présent à tous les cours donc je suis obligé d’étaler des modules sur 2 ans. Cela étant, je découvre, j’apprends toujours plus et je rencontre d’autres passionnés qui ont des objectifs variés liés à cette formation.

Je vais donc continuer mon petit bonhomme de chemin avec cette formation qui prendra le temps qu’il faut!

Entre-temps, je découvre la formation proposée par IRONMAN qui est 100% en ligne avec également des examens à passer et que je trouve intéressante. Alors je vous explique rapidement ses avantages, ses inconvénients et pourquoi…

Je me lance dans la IRONMAN UNIVERSITY

IRONMANUniversity_logo

Credit photo : IRONMAN

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Vous savez déjà que la régularité à l’entrainement est le principe fondamentale de votre succès en triathlon! Mais il y a un autre facteur important pour avoir un plan d’entrainement efficace, c’est de connaître le niveau d’intensité des vos entrainements.

Or à la fin d’un entrainement, on évalue régulièrement celui-ci on regardant la durée et la distance. “J’ai roulé 3 heures et j’ai fait 80km” ou “J’ai nagé nagé 1 heure t j’ai fait 2800 mètres”, c’est souvent ce qu’on dit et moi le premierSourire. Parce que ça donne une idée globale de l’entrainement et c’est motivant d’avoir ces chiffres! Mais finalement ça n’apporte pas grand chose sur l’intérêt de la séance car il n’y a pas de notion d’intensité.

Pourquoi l’intensité est-elle importante?

Pourtant, on s’entraine pour progresser non? Eh bien en fait, une fois les bases acquises dans les 3 disciplines, c’est l’intensité qui vous fera progresser plus que le reste. Pas en étant toujours à fond (surtout pasRire)… mais en variant l’intensité et en sachant quelle intensité on va utiliser pour son entrainement afin que celui-ci s’inscrive dans une logique donnée par notre planification.

Comment mesurer l’intensité d’une séance de natation, de vélo ou de course à pied pour le triathlon?

comment mesurer l'intensité d'une séance de natation, de vélo ou de course à pied

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La régularité dans l’entrainement est un des principes fondamentaux des sports d’endurance et donc du triathlon! Il semble tellement simple à comprendre que vous avez certainement l’impression qu’il fait partie de votre entrainement de manière naturelle.

Et pourtant, cela vaut la peine de se pencher plus sérieusement sur ce point car il s’avère être une des principales causes d’échec dans l’atteinte d’un objectif ou dans l’unique fait de progresser en triathlon. Et pour ceux qui pensent ce principe acquis, cela vaut toujours la peine de prendre une petite piqûre de rappelSourire

Car c’est en l’utilisant dans votre quotidien que vous pourrez obtenir les progrès que vous méritez!

Régularité, le principe fondamental de votre succès en triathlon

Régularité, le principe fondamental de votre succès en triathlon

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Salut cher triathlète 🙂

La natation est une discipline ingrate qui nous torture, nous triathlètes. Autant à vélo et en course à pied, il est possible de progresser en alignant les kilomètres même si ce n'est pas la méthode la plus efficace, autant en natation, ce n'est pas le cas.

Ainsi il est possible de stagner durant des mois voire des années pour certains triathlètes... et ce malgré les entrainements réguliers à la piscine!

 

Face à cette situation, je suis allé rencontré Thomas de Mon Coach de Natation afin de voir ce qu'il pouvait apporter sur ce sujet.

Tu en as marre de stagner en natation et tu ne sais plus quoi faire pour progresser? Alors dans cet article, nous allons voir 2 choses essentielles à faire pour passer au-dessus de ça et continuer à progresser en natation.

Marre de stagner en natation en triathlon? 2 choses à faire !

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Salut les triathlètesSourire

Adeptes de 3 disciplines, nous sommes capables, en dehors du triathlon, de participer à des courses dans chacune de ces disciplines  et ce durant toute l’année. Et durant la saison de triathlon, généralement d’avril à octobre, il y a des périodes où les triathlons s’enchainent les uns après les autres!

Courses hors stade de courtes distances, semi-marathon, marathon, trail, cross, course de nage en eau libre, cyclosportive, courses de VTT, raid, la liste est longue! Et à cela, il faut donc ajouter toute la saison de triathlonSourire

Très rapidement, on est tenté de participer à de très nombreuses courses. En plus, on a toujours un copain qui fait telle ou telle course et qui veut nous embarquer avec lui, pensant que parce qu’on fait du tri, on peut tout faire!

Mais finalement, il est judicieux de se demander ce qu’on peut faire ou pas…

Combien de courses par an ou par saison en triathlon?

Combien de courses par an ou par saison en triathlon

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Salut les triathlètesSourire

Comme je vous l’ai déjà dit, j’ai comme projet de lancer un gros programme d’accompagnement pour vous aider en profondeur! Dans cet article, je souhaite vous exposer les grandes lignes de ce programme. Et votre feedback, vos commentaires, vos remarques et vos suggestions me seront d’une grande utilité pour que ce programme réponde au mieux à vos besoins puisque c’est pour vous que je le crée…

 

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Salut Les triathlètesSourire

Malgré le manque de forme et surtout le manque de séances “dures”, je me suis tout de même aligné sur le Cross de Herve ce dimanche. J’avais participé à 3 cross l’année dernière au début de l’hiver et je me souvenais que c’était vraiment dur! Mais je suis tombé sur quelques vidéos  de cyclocross les dernières semaines, et de voir ces supers champions s’affronter dans la boue avec des parcours et des efforts presque surhumains, ça m’a donné envie de retourner au charbonClignement d'œil Et je dois dire que c’était FUN!!!

Cross de Herve – Un plaisir de l’effort retrouvé

cross herve 7-1-18

 

L’envie de me faire du mal / du bien

Je suis parti tout seul à ce cross sans trop savoir quoi ni comment, si ce n’est l’heure du départ. Je ne m’en tracassais guère, j’avais juste envie de courir dehors avec une bonne intensité et être entouré d’autres personnes dans la même situationSourire

Sachant que j’avais les jambes un peu lourdes, 15’ de home trainer à la maison juste avant de partir m’ont fait du bien. Arrivé sur place, il fait gris, il y a du vent froid mais je me sens bien et j’ai hâte de prendre le départ. Je m’échauffe tranquillement en reconnaissant le parcours qui n’est pas très technique mais qui comporte quand même un certain dénivelé. 2-3 tours progressifs, des petits éducatifs et des accélérations sur 80m ou déboulés puis je suis prêt. J’enfile mes spikes de cross, je croise quelques têtes connues dont Joakim, triathlète aussi et très bon coureur souvent aux avant-postes des courses de la région.

Direction la ligne de départ, il fait froid mais je suis très content d’être làSourire Puis j’apprends qu’en fait, il y a 8,5km en 6 tours! Je pensais que les cross, c’était environ 6km et je n’avais pas fait attention aux distances sur la feuille d’inscription... Bon ben, je comptais partir calmement, ce sera d’autant plus le cas.

 

Départ prudent

Malgré le mélange des juniors, séniors et masters qui ne font pas les mêmes distances (un tour de plus pour nous les séniors), je me positionne derrière. Le coup de fusil retentit et c’est parti. Je suis à la corde du premier virage, ça se bouscule un peu mais j’arrive à me placer dans le milieu du gros groupe.

Ca part vite devant, comme souvent sur les cross, alors je laisse de suite filer car je ne suis pas du tout là pour ça et je n’ai pas le niveau.

Les 2 premiers tours sont donc plutôt lents et confortables pour moi aux alentours de 4’05/km. Avec le vent, je suis “protégé” dans le groupe et ça tourne un peu donc c’est sympa. Et avec les 2-3 premiers tours qui passent, mon groupe s’étire et je maintiens le bon rythme. L’effort est là mais je ne me fais pas malClignement d'œil

 

J’ai de bonnes sensations

L’allure n’est pas folle, sur le plan musculaire et cardiaque, s’en est presqu’agréable alors je décide de hausser un peu le tempo car après tout, je suis aussi là pour le goût de l’effortSourire

A mi-course, je quitte donc mon groupe et je remonte petit à petit sur ceux qui sont devant moi. Je reprends une petite dizaine de coureurs et ça fait plaisir de sentir que je peux accéléré. Car habituellement sur un cross c’est l’inverse… le départ est tellement rapide qu’après, j’étais à la rue pour maintenir le tempo et rallier l’arrivéeRire

J’apprécie donc mon dimanche après-midi!

 

Un finish intense sans m’exploser

A l’entame du dernier tour, je suis isolé et il y a un gars que je connais à environ 60m. Il devait bien avoir 100-120m d’avance 2-3 tours plus tôt donc je me dis qu’il est peut-être dans le dur et que si j’arrive encore à accélérer, je le rejoindrai. Mais sur environ 1300m, 60m c’est beaucoup. Quoi qu’il en soit, j’accélère encore et je reviens!

Je me mets dans le dur et je recolle à 20m environ 300m avant la ligne. Je ne veux pas m’exploser et mon mental de compétiteur n’est pas hyper acéré à cette période donc je décide d’en rester là sauf s’il craque vraimentClignement d'œil Il n’en sera rien puisqu’il arrivera à finir un peu plus fort sous les encouragements de son entraineur.

Peu importe, je suis content de ma fin de course et de ce petit duel à distanceSourire

 

Je termine 16ème sénior sur 28 en 33’21 à plus de 4’ du vainqueur. Résultat probablement en accord avec ma forme du moment et j’ai senti que grâce à ce départ prudent, plus ça devenait long, mieux j’étais. Je suis donc très satisfait même si je peux faire mieux!

 

J’en prévois d’autres cet hiver avant la fin de la tournée des cross donc j’ai hâte d’être au suivant!

 

Et vous, qu’est-ce que vous faites durant l’hiver comme type de compétitions? Ca m’intéresse!Sourire

Salut les triathlètesSourire,

Dans un de mes derniers articles, je vous avais parlé de ma situation, de ma vie de dingue et de mon gros dilemme. Je vous invite à revenir dessus si vous ne l’aviez pas encore lu pour comprendre cet articleClignement d'œil

Suite à cet article, j’ai reçu des dizaines de retours  de votre part, essentiellement par email, et je pense avoir eu l’occasion de répondre à chacun d’entre vous. Déjà 1000 mercis à vous car vous m’avez apporté d’excellents compléments à ma réflexion. Merci pour votre soutien, vos encouragements, vos idées, vos remerciements, vos propositions mais aussi pour vos craintes, vos peurs, vos questions et surtout pour votre ouverture d’esprit et votre envie à chacun de finalement m’accompagner dans cette période charnièreSourire

Cela fait donc plusieurs semaines que je réfléchis à cette situation et durant ce weekend, j’ai pris ma décision :

Je change de vie et l’aventure continue de plus belle !

je change de vie et l'aventure continue de plus belle

Souvenir d’Australie en 2010 – Premier gros voyage seul et premier tournant dans ma vie

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Salut les triathlètesSourire

Aujourd’hui, ou plutôt cette nuit, j’ai décidé de me livrer à vous comme rarement je l’ai fait jusqu’ici.

Alors je ne passe pas par 4 chemins et je vous explique…

Ma situation, ma vie de dingue, mon gros dilemme !

ma situation, ma vie de dingue, mon gros dilemme

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Propulsé en Belgique avec une patate d'enfer
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